En 2010 (à peu près), une jeune maison d'édition, Booxmaker, me demande de reprendre mon roman La Toile qui, bien que publié précédemment par une autre jeune maison d'édition sur papier (j'aime bien travailler avec de jeunes éditeurs même si ça ne me réussit pas vraiment) pour en faire une version eBook. Je publierai également une série de nouvelles à cette même maison d'édition qui ne disposait d'aucun moyen de diffusion sinon Internet et n'avait pas la possibilité de se faire connaître. D'où aucun écho sur ce roman qui avait pourtant obtenu (en ?…) le prix de la SGDL et faillite prévisible de l'éditeur qui pourtant avait fait l'effort de sortir un beau nombre de titres. L'institution littéraire a ses règles et il faut pouvoir à la fois les respecter et s'y confronter.
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