Suite de la correspondance avec Michel Butor, 1972.



En 1972, j'allais avoir trente ans et c'était ma dernière année en Algérie. J'allais revenir en France, m'installer à Fontainebleau, et occuper mon poste de professeur de français à l'école normale d'instituteurs de Melun. Ce fut une année littérairement assez riche et ma correspondance avec Michel Butor s'est amplifiée. Je lui suis toujours reconnaissant, bien que nos contacts se soient depuis distendus jusqu'à disparaître, de l'attention qu'il y portait. Notre dernier contact fut lorsque, directeur de la biennale internationale en Val de Marne je l'invitai et qu'au dernier moment il annula sa venue.






Toute cette correspondance est désormais à la BNF.

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